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Growth Hacking

Growth Hacking : comment accélérer la croissance de son entreprise ?

Le Growth Hacking est devenu l’une des stratégies entrepreneuriales les plus efficaces au sein des entreprises. De plus en plus de start-ups voient leur chiffre d’affaires doubler, voire tripler, grâce à cette technique.

Mais qu’est vraiment le Growth Hacking ? Comment utiliser l’analyse AARRR pour savoir quelle est l’action prioritaire à mettre en place dans votre entreprise ?

Le Growth Hacking c’est quoi ?

Growth Hacking

Définition

Littéralement, le Growth Hacking signifie « la croissance par détournement d’un système ». Dans la réalité, l’idée de base du Growth Hacking n’a rien d’illégal ou de peu recommandable. Concrètement, le Growth Hacking regroupe un ensemble de techniques visant à accélérer la croissance d’un produit ou d’un service. Cette stratégie fait appel à une méthodologie, ou à un état d’esprit qui sort quelque peu des sentiers battus.

Les experts du Growth Hacking ou Growth Hackers préfèrent même mettre en avant cet état d’esprit, qui veut que tous les moyens soient bons pour atteindre l’objectif initial, celui de la croissance.

Cela englobe aussi bien les opérations et les techniques légales et vertueuses que les moyens non conventionnels, qui flirtent avec la légalité et la décence. La présence du mot Hacking, habituellement associé aux pirates informatiques (HACKERS), est donc largement compréhensible.

Le Growth Hacking prône les méthodes de croissance rapide et à faible coût permettant à l’entreprise de parvenir à ses fins dans les plus brefs délais. Cette stratégie ou cet état d’esprit fut longtemps associé aux startups de l’économie numérique.

Quel est la mission d’un Growth Hacker ?

Les adeptes du Growth Hacking s’appuient sur une connaissance poussée des techniques de codage et des nouvelles technologies pour parvenir à leurs fins. Ils combinent également ces savoirs avec des notions de marketing traditionnel.

La liste des compétences exigées du Growth Hacker est donc très longue, entre le social marketing, l’Emailing, l’A/B Testing, la maîtrise des statistiques, l’analyse de données, une bonne connaissance de la culture web, le SEO et même la psychologie sociale.

Son but premier est de recruter un maximum d’utilisateurs et fournir ainsi de la croissance à son entreprise. Cette dernière peut ensuite commencer à monétiser ses services lorsque la campagne de Growth Hacking a rapporté suffisamment d’utilisateurs, donc de prospects potentiels.

Le rôle du Growth Hacker consiste d’ouvrir la voie à la monétisation des services et des produits d’une entreprise, peu importe sa taille. Cette stratégie touche principalement les entreprises du secteur technologique, même si des start-ups d’autres domaines d’activités peuvent aussi s’en inspirer.

Le Growth Hacking : mythes et réalités

Le Growth Hacking est un concept relativement « récent ». Sean Ellis, ancien cadre de Dropbox en a fait mention pour la première fois en 2010. Il fut le premier à utiliser le terme de Growth Hacker. Pour la petite histoire, lorsqu’il voulait quitter la startup en pleine croissance et devait trouver un remplaçant.

Seulement, il ne savait pas vraiment comment décrire son travail au sein de l’entreprise, qui consistait à accroître par tous les moyens envisageables le nombre d’utilisateurs de Dropbox. Il choisit finalement le nom de Growth Hacking, dont le travail consiste à acquérir un grand nombre d’utilisateurs par des moyens empruntés aux marketeurs, mais aussi aux commerciaux et aux développeurs.

La méconnaissance de ce concept fait apparaître un flot d’informations erronées et de mythes qui plombent quelque peu la perception du Growth Hacking et du Growth Hacker.

Plusieurs personnes racontent, par exemple, les pratiques de Growth Hacking de Uber et de Facebook pour atteindre rapidement une capitalisation boursière de 50 milliards de dollars.

D’autres racontent que ce concept est un buzzword de plus dont la signification se rapproche de techniques déjà connues des professionnels et du grand public.

Comment distinguer le vrai du faux dans ce brouhaha de pseudo-expert ? Il est essentiel de faire la part des choses et d’identifier clairement les mythes et les réalités autour du Growth Hacking.

Le Growth Hacking et le Marketing en ligne seraient la même stratégie

FAUX. Le Growth Hacking et le marketing en ligne constituent deux disciplines bien distinctes.

Certes, ces deux stratégies partagent quelques points communs, notamment en matière d’objectifs et de moyens de mise en œuvre. Le Growth Hacking aborde néanmoins la course vers la croissance et se concentre principalement sur les produits créés par l’entreprise et les techniques de les monétiser.

Aussi, le marketing en ligne se focalise sur les canaux par lesquels ces produits doivent être promus grâce à des opérations de communication ciblées.

L’exemple le plus parlant est celui d’Amazon. Le géant du e-commerce s’appuie beaucoup plus sur la rapidité de ses services pour faire du chiffre d’affaires. Un délai d’attente supplémentaire d’une seconde sur le site pourrait lui faire perdre plus de 1,6 milliards de dollars de ventes chaque année.

Amazon investit ainsi régulièrement sur des serveurs toujours plus puissants pour pouvoir vendre des produits en temps et en heure à ses clients. Le seul « hick» est qu’à force d’accroître son parc de serveurs, il se trouve en surcapacité.

Par un habile jeu de Growth Hacking, la firme américaine décide de vendre les espaces de stockages supplémentaires de ses serveurs via Amazon Web Services. Et ses ventes continuent d’exploser, tout comme ses capacités de calcul et de stockage.

Si Amazon s’était contenté d’une campagne de marketing dans ce cas précis, il aurait seulement communiqué sur la rapidité de son site et de ses serveurs pour convaincre les acheteurs d’adopter sa plateforme.

Le Growth Hacking est une solution miracle

FAUX. Le Growth Hacking ne constitue en aucun cas la solution à tous les problèmes de croissance des entreprises, surtout des startups technologiques.

L’acquisition d’utilisateurs ne se fait pas par magie. Le Growth Hacking aide certes, une entreprise à rendre ses produits et services plus intéressants, donc beaucoup plus bankable. De là à considérer le Growth Hacking comme une technique garantie pour booster les ventes, il y a plusieurs étapes à franchir.

La clé se trouve en réalité dans la capacité de l’entreprise à identifier le mécanisme à l’origine de la désirabilité de son produit ou de son service chez l’utilisateur final.

Le Growth Hacking fonctionne toujours, même avec des produits minables

FAUX. Le Growth Hacking ne fait pas tout, il ne corrige pas les défauts de conception du service ou du produit de l’entreprise.

Cette dernière ne peut pas espérer acquérir plusieurs utilisateurs avec un produit de moindre qualité par rapport à ce que propose la concurrence. L’entreprise doit ainsi associer le Growth Hacking avec toute une série de Béta Testing, de travaux de R&D et d’autres opérations visant à concevoir une offre finale vraiment intéressante aux yeux des clients finaux.

Le Growth Hacking est un raccourci vers le succès

FAUX. Les startupers et les créateurs d’entreprises qui pensent que le Growth Hacking résoudra tout leur problème de croissance ont tout faux.

Growth Hacking ou pas, le plus important est de rester concentré sur les besoins réels des clients. L’objectif étant de concevoir une offre à même de résoudre leur problème.

Et l’idéal serait d’avoir l’unique ou la meilleure solution, pour faire de sa marque une référence absolue dans son domaine d’activité. Ce n’est qu’ainsi qu’une entreprise peut obtenir du trafic, des prospects et des recommandations, et au final, plus de clients et plus de ventes.

L’optimisation du cycle des ventes : le célèbre tunnel AARRR

Growth Hacking

Parler du Growth Hacking sans évoquer le tunnel AARRR est inconcevable. Ce schéma constitue en réalité le cycle de développement et de vente des startups et de toutes les entreprises qui adoptent des techniques de Growth Hacking.

Ce schéma a été élaboré et décrit par Dave McClure, un entrepreneur et ange investisseur spécialisé dans les entreprises technologiques. La matrice AARRR est un acronyme, dont la signification est Acquisition – Activation – Rétention – Recommandation – Revenu. Cette matrice ressemble en quelque sorte au tunnel de vente propre au Growth Hacker.

L’acquisition

Acquérir les visiteurs constitue la première étape du tunnel de conversion en Growth Hacking. L’on part du principe que vous ne puissiez générer du trafic et obtenir des conversions sur votre plateforme si cette dernière est invisible ou très peu fréquentée.

L’idée consiste donc à formuler une proposition de valeur pertinente afin de convaincre l’internaute et les autres utilisateurs de la réelle utilité de votre produit ou service.

L’acquisition de trafic mobilise plusieurs techniques ayant trait au référencement naturel, le SEA, le SEO et le community management. Le Growth Hacker communique dans un premier temps sur les atouts et les bénéfices apportés par votre offre, le but étant de capter l’attention d’un maximum d’internautes.

Par exemple, Airbnb a mis en avant la convivialité et le prix réduit des locations temporaires chez l’habitant pour attirer des utilisateurs à ses débuts.

Ces deux qualités sont soulignées sur la page d’accueil du site, relevant ainsi un autre aspect primordial de la stratégie d’acquisition : la proposition de valeur doit être présentée dès le premier contact avec l’internaute ou l’utilisateur potentiel.

L’activation

Elle intervient lorsque vous avez récupéré suffisamment de visiteurs prêts à devenir des prospects, voire des clients réguliers. Attention toutefois à ne pas brûler les étapes.

L’idéal serait de commencer par transformer l’internaute en prospect, à travers des artifices simples comme des flux RSS, une newsletter ou une inscription à un formulaire.

Vous pouvez offrir un livre blanc ou un accès à certains services gratuits aux visiteurs en contrepartie d’une adresse E-mail, par exemple. L’idée est de satisfaire l’internaute lors de ses premières visites et lui faire vivre une bonne expérience vis-à-vis de votre produit ou service.

La rétention

Maintenant que vous avez passé l’étape de l’activation, votre entreprise doit penser à retenir les utilisateurs qui ont le profil d’un prospect ou d’un client potentiel.

La tâche du Growth Hacker consiste dès lors à faire revenir les utilisateurs en question grâce à de nouvelles mises à jour, des programmes de fidélité, de nouveaux produits/services ou des bons de réduction.

La rétention nécessite parfois l’organisation d’une campagne d’Emailing ou de promotions destinées aux seuls utilisateurs inscrits sur votre site ou ayant déjà testé votre service.

La rétention représente une étape primordiale : de sa réussite ou son échec dépend souvent l’avenir d’une startup nouvellement créée. À quoi bon continuer si votre entreprise peine à recruter des utilisateurs réguliers !

La recommandation

Qui a dit que le bouche-à-oreille appartient au passé ? Cette pratique souvent associée au marketing d’influence a toute son importance en Growth Hacking lors de l’étape dite recommandation.

Growth Hacking

Votre mission à ce niveau consiste à transformer les utilisateurs actifs de votre site  en ambassadeurs de votre marque. Si vous avez correctement mené les opérations des trois étapes précédentes, cela ne devrait être qu’une formalité.

Néanmoins, vous devez continuer d’investir dans des offres et des opérations pouvant contribuer à la viralité de votre produit ou service. Organisez des jeux-concours, mettez en place des codes promos ou des mécanismes de parrainage.

De tels gestes, en apparence insignifiants, pousseront vos utilisateurs à recommander votre service aux personnes de leur entourage. Le plus important à ce niveau est de faire parler de votre offre, ou faire le buzz auprès de votre communauté.

Revenu

La phase de conversion proprement dite, là où l’entreprise monétise, intervient à la toute fin de la matrice du Growth Hacking. Et ça n’a rien d’un hasard.

C’est au cours de cette étape finale que les prospects et les utilisateurs réguliers deviennent des clients fidèles.

La monétisation revêt différentes formes selon la nature du service ou produit que vous proposez. Cela peut être lié à la publicité ou à l’achat de forfait, ou prendre la forme d’un abonnement à une offre premium.

Vous seul décidez de la manière dont vous comptez engranger des revenus à partir de votre communauté.

5 techniques de Growth Hacking à mettre en place tout de suite

Le Growth Hacking englobe un nombre incalculable de techniques, qui reposent essentiellement sur la capacité des entreprises à innover, à trouver tous les moyens possibles pour faire progresser leurs activités.

Voici 5 techniques qui ont fait leur preuve par le passé et qui continuent d’être très pertinentes aujourd’hui :

Tournez à votre avantage les techniques de vos concurrents

Un environnement des affaires sans concurrence serait ennuyeux et utopique. L’un des piliers du Growth Hacking renvoie à l’art d’observer ce qui se passe aux alentours et d’en tirer le meilleur pour créer un produit ou un service plus intéressant.

Aussi, si vous vous lancez dans le Growth Marketing, ne pensez surtout pas en mal des autres startups présentes dans votre niche. Considérez plutôt le fait que, si elles se lancent dans le même filon que vous, c’est que vous êtes sur la bonne voie.

Mieux encore, si une entreprise perce dans votre niche, voyez-la comme l’exemple à suivre, la référence dans votre domaine d’activité. Inspirez-vous de ses méthodes, de ses produits sans pour autant les plagier ou proposer de pâles imitations. Faites quelques recherches sur ce qui marche ou qui ne marche pas chez la concurrence et tirez-en des leçons.

Utilisez les bons outils pour scanner leurs réseaux de backlinks, leurs sources de trafic et leurs séquences d’E-mail. Procédez ensuite aux ajustements nécessaires pour obtenir une stratégie qui fonctionne vraiment avec le profil de votre entreprise.

Obtenir l’appui des influenceurs

Avoir une bonne visibilité est cruciale pour faire de l’acquisition, de la rétention et de la recommandation. Et pour ce faire, vous avez grandement besoin du soutien d’un ou de plusieurs influenceurs. Choisissez des personnalités ou des experts qui ont « l’oreille’ et le respect de votre marché cible.

Contactez de préférence une personne neutre pour amplifier l’impact de votre marketing d’influence. Vos opérations de marketing digital feront plus parler d’elles si elles sont évoquées par ces influenceurs. Et le résultat sera meilleur s’ils parlent en bien de votre produit ou service auprès de leur propre communauté.

Utiliser votre produit pour faire passer le message

Une entreprise qui met en place le Growth Hacking voit son propre produit comme un potentiel outil de communication. Si vous vendez, par exemple, un appareil que les clients utilisent au quotidien, glissez des messages ou des incitations pour rendre votre marque et votre produit encore plus populaire.

Prenez l’exemple d’Apple. La firme de Cupertino a investi dans des scripts qui permettaient à ses serveurs et à ceux d’autres sites de reconnaître les photos ou publications envoyées à partir d’un iPhone.

Ainsi, lorsqu’une personne publie des photos sur Instagram ou Facebook, une petite mention « Prise avec un iPhone » apparaît en légende.

Et cette inscription est visible par tous les utilisateurs de Facebook ou Instagram ayant vu le post. C’est un cas concret de Growth Hacking où le produit est utilisé pour faire passer un message ou faire la promotion d’une marque.

Créer un produit « génial »

Cette technique n’est pas propre au Growth Hacking, mais contribue indubitablement à la croissance de votre entreprise.

Avec ou sans l’intervention d’un Growth Hacker, votre startup doit pouvoir séduire son marché cible avec une offre de produit ou service de qualité.

Proposez uniquement des marchandises testées au préalable aux clients. Tous les efforts menés pour acquérir des utilisateurs et convertir des prospects seront vains si vous n’êtes même pas capable de vendre l’utilité de votre produit à vos clients.

Instaurer des programmes de parrainage

La transformation des prospects en clients s’apparente à un défi insurmontable pour des startups. Cette démarche engage naturellement des fonds conséquents et rares sont les enseignes capables de financer la conversion à long terme.

Les programmes de parrainage apparaissent ainsi comme une alternative moins coûteuse et facile à mettre en œuvre en matière de conversion de leads. Le principe est simple : il suffit d’inciter vos utilisateurs réguliers à recommander votre marque dans leur entourage, en contrepartie d’un petit bonus ou une récompense intéressante.

Cas concrets de Growth Hacking réussi

Les exemples d’entreprises ayant procédé à du Growth Hacking sont légions. Quelques cas sortent néanmoins du lot et méritent une attention particulière :

Facebook

Growth Hacking

Facebook n’est pas le leader mondial des réseaux sociaux sans raison. Dès le début, Mark Zuckerber a compris l’importance, pour les gens, de rester au contact de leur entourage.

L’entreprise a donc investi pendant des années dans des technologies qui facilitent les échanges de photos, de vidéos, de messages et de publications entre proches. Ces outils ont été présentés comme les pièces d’un trombinoscope numérique permettant à l’utilisateur de satisfaire son envie de s’intéresser à la vie des autres. Et le service est gratuit, par-dessus tout.

Il a fallu 6 ans à Facebook pour franchir la barre du milliard d’utilisateurs en 2012. L’équipe de Zuckerberg a commencé à élaborer une politique commerciale et marketing viable seulement après avoir recruté suffisamment d’utilisateurs réguliers.

Instagram

Growth Hacking

Le cas d’Instagram est très révélateur. Ses créateurs ont observé que les gens aiment poster des photos avec filtres, pour paraître plus beaux, masquer certains défauts de leur corps ou créer une ambiance particulière autour d’une image.

Ils se sont ainsi concentrés sur la création de filtres en tout genre, répondant ainsi aux besoins des utilisateurs. Ces derniers tombent sous le charme des créations du site, qui acquiert rapidement une grande notoriété chez les fans de réseaux sociaux.

Les succès s’enchaînent naturellement. Instagram voit son nombre d’utilisateurs croître de façon exponentielle, avant d’être racheté par Facebook pour un milliard de dollars. Et tout ça, sans avoir généré de revenus depuis sa création !

Hotmail

Growth Hacking

Avant les Gmail et Yahoo, il y avait Hotmail, la première boîte mail du monde web. Cette messagerie naît sur l’initiative de deux employés désireux de cacher leurs échanges à leur employeur.

Après avoir créé Hotmail, les deux larrons se retrouvent en manque de fonds pour la promotion de leur œuvre. Ils décident alors d’ajouter un message automatique en bas de tous les mails envoyés via Hotmail : « PS : I Love You. Obtenez gratuitement une adresse e-mail Hotmail ».

L’idée fonctionne à une époque où les messageries électroniques étaient encore payantes et Hotmail recrute plus d’un million d’utilisateurs en 6 mois.

Et après 18 mois, la messagerie gratuite compte plus de 12 millions d’usagers. Puis, Microsoft entre dans la danse et le rachète définitivement.

YouTube

Growth Hacking

YouTube a usé de plusieurs artifices de Growth Hacking au cours de son développement. L’introduction de la fonction « Embed » en fait partie.

Cette option permet aux blogueurs et propriétaires de sites de diffuser sur leur propre adresse des vidéos postées à l’origine sur YouTube. Les nombres de vues sur ces blogs entrent également dans le décompte de la publication YouTube originelle.

Ce « hack » tout simple, appartenant au niveau de la recommandation de la matrice AARRR, a boosté les statistiques de visionnage de la plateforme.

AirBnB

Growth Hacking

La technique de Growth Hacking employée par Airbnb relève du génie. Peu après sa création en 2008, le site peine à trouver des visiteurs, donc des clients.

Ses créateurs décident alors de partager les annonces Airbnb sur Craiglist, un site qui jouit à l’époque d’une plus grande notoriété.

Toutes les publications sur Airbnb sont alors diffusées automatiquement sur Craiglist. L’astuce fonctionne à merveille et Airbnb parvient à hacker une partie du trafic de Craiglist dans le domaine de la location.

La plateforme surpasse aujourd’hui Craiglist en termes de trafic et de chiffre d’affaires.

Spotify

Growth Hacking

Spotify a utilisé à peu près la même technique qu’Airbnb, mais avec Facebook. Son idée ? Le partage automatique du playlist d’un utilisateur sur Facebook.

Tous les contacts Facebook des utilisateurs de la plateforme découvrent alors le service, qui connaît un essor fulgurant peu après cette astuce de Growth Hacking.

DropBox

Growth Hacking

DropBox a opté pour une opération de parrainage toute simple. À la base, le site offre 2 Go d’espace de stockage gratuit.

Désireuse d’acquérir plus d’utilisateurs, l’entreprise incite ses clients à inviter des amis à adopter le service, en contrepartie d’un espace de stockage supplémentaire. Chaque filleul rapporte ainsi 0,5 Go de stockage, le plafond étant limité à 16 Go.

Avec cette technique toute simple, la base d’utilisateurs de Dropbox a bondi de 3 900 % en 15 mois, passant de 100 000 à plus de 4 millions de personnes.

Twitter devenu X

Twitter devenu X

Le cas de Twitter est légèrement différent. Le site a constaté, grâce au data, que les nouveaux utilisateurs abandonnent leur compte après quelques jours seulement, faute de contenus intéressants.

La plateforme a eu l’idée de proposer une liste de comptes d’amis ou de personnalités à suivre dès l’inscription pour réduire ce taux d’abandon. L’astuce fonctionne et Twitter devient une référence dans le milieu du microblogging et des informations flash.

Prêt à booster votre business toute de suite et sans budget ?

Tous ces exemples montrent à quel point un ensemble de techniques de Growth Hacking bien ficelées est crucial pour croître exponentiellement la courbe de revenu de votre entreprise.

Ces explications soulignent également un point important : le Growth Hacking n’est pas une stratégie mystérieuse ni illicite, réservée à des entrepreneurs voyous.

Les startups respectables et à fort potentiel en sont même les principaux adeptes. Elles montrent depuis quelques années que cet état d’esprit doit être omniprésent chez les créateurs et les dirigeants d’entreprise en quête de succès. Vous êtes probablement l’un de ces leaders.

Premier livre complet sur le Growth Hacking

Si c’est le cas, vous devez apprendre dès maintenant toutes les ficelles du Growth Hacking. Cet article est assez complet, mais reste limité en matière de renseignements réellement utiles pour apprendre le Growth Hacking.

Le livre « Le Growth Hacking – 8 semaines pour doubler le nombre de vos prospects » de Frédéric CANEVET, publié chez Dunod, contient tout ce qu’il vous faut pour maîtriser les techniques de Growth Hacking en 2 mois. Vous pouvez directement commander ici :


Cet ouvrage de 288 pages dévoile dans un langage technique, mais lisible les prérequis techniques, matériels et logiciels pour devenir un bon Growth Hacker.

Frédéric CANEVET s’est penché sur plusieurs cas concrets pour élaborer quelques plans de Growth Hacking viables et basés sur une logique implacable, chose jamais faite auparavant.

Une vraie source d’inspiration

Personnellement, ce livre a été une grande source d’inspiration pour nous dans notre cheminement en tant qu’entrepreneur indépendant, spécialisé dans le marketing digital et la communication en ligne.

Nous y avons puisé des astuces très pratiques qui marchent en prime et qui nous ont permis de développer notre propre startup et recruter de nouveaux clients fidèles.

Les idées de Growth Hacker dans ce livre ont été la source d’inspiration à l’origine de notre site. Et nous nous m’efforçons d’appliquer les conseils du livre afin d’acquérir du trafic et vendre efficacement nous services sur ce site.

Nous croyons dur comme fer que vous aussi, vous pouvez apprendre quelques techniques très utiles dans ce livre bien présenté et à l’écriture fluide.

Conseils de Frédéric CANEVET, expert du Growth Hacking

Growth Hacking
Expert en Marketing Produits et Digital, Growth Hacking, responsable des offres Cockpit & Chatbots chez Eloquant 

Nous avons eu l’occasion d’interviewer Frédéric CANEVET animateur du site http://www.conseilsmarketing.com/ et auteur du livre « Le Growth Hacking – 8 semaines pour doubler le nombre de vos prospects ». Dans cette interview, Frédéric nous donne ses 3 conseils pour BOOSTER votre business et dévoile son hack préféré.

Mon premier conseil est simple : utilisez l’analyse AARRR pour savoir quelle est l’action prioritaire à mettre en place dans votre entreprise.

C’est le meilleur choix pour améliorer une situation à très court terme.

Dans le process de choix des idées, il faut toujours choisir 1 ou 2 « quickwins » c’est-à-dire des améliorations que l’on peut mettre en place immédiatement et pour un coût/effort proche de 0 et qui peuvent déjà apporter un réel plus.

Par exemple il y a peu de temps je cherchais à améliorer la conversion d’un site, et j’avais noté que le système des auto-répondeur était défaillant. Avant même de faire un A/B Testing de messages, de changer de solution d’Emailing… j’ai déjà optimisé en mettant un nouvel expéditeur sans le nom de l’entreprise. Cela a pris 5 minutes, mais cela a permis de doubler le taux d’ouverture de ce message.

Mon second conseil est de ne pas chercher la perfection au départ.

En Growth Hacking le mieux est l’ennemi du bien… il faut déjà faire quelque chose, voir si cela apporte des résultats, et ce n’est qu’ensuite qu’il faut y consacrer plus d’efforts et de perfectionnisme.

Cela ne veut pas dire faire « à l’arrache » et mal fait, cela veut dire qu’il faut accepter d’avoir un niveau qui n’est pas parfait au départ, et améliorer ensuite si cela se révèle une bonne idée.

Mon troisième conseil, c’est d’automatiser ce qui doit l’être, mais ne pas chercher à tout automatiser.

En effet en Growth Hacking la tentation est de mettre en place des process, des logiciels… mais cela peut se révéler contre-productif lorsque cela « se voit » (en particulier avec des personnes du marketing ou dans l’informatique).

Il faut savoir aussi mettre au bon moment de l’humain, par exemple mettre en place une procédure d’escalade pour un chatbot, sous traiter le SAV et ne pas chercher que du self service…

Fréderic CANEVET, quel est ton hack préféré ?

Actuellement je pense que Linkedin est le réseau social le plus sous estimé, car il est à la fois qualitatif, et très permissif.

Il est donc essentiel à utiliser si on est en B2B, avec l’utilisation en particulier de Linkedin Helper qui est vraiment très utile pour automatiser une partie des tâches (ajouts de contacts, direct messages…).

 

Voilà chers fidèles lecteurs, nous espérons que cet article vous a été utile ou vous a plu ? Notre souhait est de vous apporter les informations utiles et accessibles à tous.

Toutefois, n’hésitez pas à nous faire part de vos remarques dans les commentaires ci-dessous. Elles m’aideront à vous proposer des articles toujours plus en adéquation avec vos attentes.

Et vous, Growth Hackers quels sont vos hacks préférés ?

Voici également 101 hacks que vous pouvez mettre en pratique tout de suite.

bonne agence web

Reconnaître une bonne agence web, comment faire ?

Malgré la prolifération des plateformes de référencement gratuit, on conseille toujours aux professionnels de faire appel à une agence web pour l’entretien de leur page. En effet, en sous-traitant l’agencement de vos portails, non seulement vous profitez de l’avis d’experts, et assurez par la même occasion la qualité de vos référencements, mais vous vous simplifiez également la vie. Il reste à trouver la bonne agence web.

Les sous-traitants à l’étranger sont les plus plébiscités

En ce qui concerne les référencements et la création de contenu optimisé SEO, les sous-traitants étrangers sont, semble-t-il, les meilleurs. À l’instar de  Max-Ecom qui s’est fait une place de choix dans ce domaine depuis quelques années, les agences étrangères proposent à la fois des services à des prix raisonnables et d’une qualité optimale. D’ailleurs, elle commence sa prise en charge de votre cas par un diagnostic de votre référencement. Le principe étant de garder les points positifs et revoir les lacunes de votre stratégie de prospection en ligne.

En sous-traitant, vous profitez d’énormément d’avantages. Par exemple, les contrats sont ici de simples accords de prestation de service, ce qui est beaucoup plus simple à gérer. Ils ne font pas intervenir des normes de droits sociaux.  Une fois le service réalisé, le contrat s’annulera de lui-même.

En outre, comme tout se gère en ligne, la rapidité sera au rendez-vous. Ce n’est pas la peine de se déplacer ou de réserver un bureau pour vos prestataires dans vos locaux. Si vous avez des questions, il suffit de faire un appel vidéo ou de tchater avec votre prestataire. Néanmoins, si vous avez fait appel à un prestataire de confiance, vous n’aurez pas de crainte à avoir en ce qui concerne la livraison de la prestation.

Quelques chiffres à prendre en considération

Très demandées actuellement, les agences web sont de plus en plus nombreuses sur la toile. Mais bien évidemment, ce n’est pas n’importe quel prestataire qui sera à même de vous proposer tel ou tel prix modique qui pourra vous aider à optimiser votre présence en ligne. Afin de faire le tri entre toutes les offres disponibles sur la toile, vous devez simplement vous fier aux chiffres.

Le premier détail qui doit vous interpeller est entre autres les années d’expérience. Plus de 5 ans : ce sont des agences expertes. Ce sont les prestataires idéals dans la mesure où ils connaissent d’ores et déjà toutes les astuces qui marchent et les bons mots clefs à réelle valeur ajoutée. En d’autres termes, seules les agences web avec des années de métiers sont à même de vous assurer un résultat rapide.

Le nombre de collaborateurs est également une chose à ne pas prendre à la légère. Cela leur permet d’assurer un bon positionnement pour chaque client. Les collaborateurs en question ne sont pas uniquement des professionnels de la rédaction et du référencement. Ce sont aussi des sites partenaires dont les liens peuvent être utilisés dans les campagnes de netlinking.

Et enfin, vous avez le nombre de clients qui peut vous servir d’indice. Si une agence a conquis le cœur de plusieurs centaines de prestataires de service, c’est certainement grâce à la qualité de ses services.

Outils du rédacteur web

Les outils du rédacteur web qui l’aident à bien rédiger

Aujourd’hui, nous allons vous parler des outils que tout rédacteur doit connaître, s’il veut être plus productif, gagner du temps et surtout bien faire son travail. Que vous soyez rédacteur Freelance ou si vous êtes un entrepreneur qui souhaite écrire les articles pour son blog, ce guide est fait pour vous.

Les outils web pour une meilleure écriture

Voici huit outils à utiliser pour une meilleure écriture.

Larousse en ligne

Cet outil vous permet de vérifier l’exactitude des mots que vous écrivez. Aussi, vous apprendrez les mots invariables, les verbes intransitifs et les accords, des informations qui vous sont très utiles.

Reverso

Il en est de même pour Reverso, un correcteur en ligne qui vous aide à rédiger des textes sans fautes d’orthographe. Il est aussi très utile pour la conjugaison des verbes ou la correction des fautes de grammaire, etc.

Hemingway editor

Hemingway editor est un correcteur orthographique qui se concentre plutôt sur le style et la syntaxe. En gros, il vous permet d’écrire de la manière la plus correcte qui soit en mettant en évidence les phrases trop longues ou mal formulées pour que vous puissiez les rectifier.

Textalyser

Textalyser est un outil d’analyse de texte en ligne qui vous donne le nombre total des mots de votre texte. Il fournit d’autres statistiques sur celui-ci, telles que le taux de densité lexicale, la lisibilité, le nombre moyen de syllabes par mot, celui des phrases, etc.

Positeo

Positeo vous indique en outre si le contenu textuel que vous allez publier sur votre site est dupliqué. Pour le savoir, c’est simple : faites un copier / coller de l’un des paragraphes de votre texte et il vous fournit le pourcentage des termes les plus repris. Vous devez donc changer ceux-ci si ce pourcentage est élevé.

Pour pénaliser les mauvais sites, l’algorithme prend en compte plusieurs éléments : la date de publication du contenu, la notoriété du site, son trafic, son activité.

Prenons un exemple : si une page a été publiée le 24 octobre 2014, puis un an plus tard une autre page avec un contenu équivalent est publiée, il y a de fortes chances que la première soit la version originale et donc la seconde pénalisée.
Toutefois, il est à noter que l’algorithme ne se contente pas seulement de vérifier la date, il prend également en compte d’autres paramètres et de mauvaises surprises peuvent survenir !

Word2cleanhtml

Avant d’insérer votre texte dans un CMS, cet outil vous aide par ailleurs à le nettoyer et à le convertir en HTML tout propre et net. C’est le cas si vous l’avez préalablement rédigé sous Word ou un autre logiciel de traitement de texte.

The most dangerous writing app

C’est l’outil de rédaction web le plus audacieux. Il ne vous empêche pas d’écrire, mais au contraire, vous incite à ne pas vous arrêter sous aucun prétexte afin de respecter le délai que vous vous êtes donné. Si vous n’atteignez pas ce délai, tout votre contenu disparaît. Ses durées varient ainsi de 3 minutes à 1 heure et le nombre de mots, entre 75 et 1667.

Antidote

C’est l’assistant idéal qui vous aide à bien écrire en français ou en anglais selon la manière dont vous l’avez paramétré. Antidote est composé d’un correcteur avec filtres intelligents, des dictionnaires, des guides linguistiques, bref, de quoi écrire un super texte.


Outils de la rédaction web pour booster le SEO

Comme rédiger pour le web nécessite aussi le respect des préconisations du référencement Google en vigueur, les outils suivants vous aident aussi à travailler dans ce sens.

Keyword Planner

C’est le cas avec l’outil Google Keyword Planner grâce auquel vous pourrez trouver des idées de mots-clés en y entrant une expression relative. Vous obtenez tout de suite une série de suggestion des bons mots-clés avec lesquels composer une longue traîne pour améliorer votre rédaction web.

Yooda Insight

Yooda Insight n’en est pas moins intéressant, car il fournit le nombre précis des recherches effectuées avec un mot-clé précis. En vous servant pour faire l’analyse du référencement naturel de votre site, vous obtiendrez l’estimation de son trafic SEO et du nombre de mots-clés positionnés.

Ubersuggest

Un autre outil générateur de mots-clés, Ubersuggest vous suggère toute une liste de mots-clés catégorisés par ordre alphabétique. Pour cela, il vous suffit d’y indiquer votre mot-clé principal ainsi que la langue dans laquelle vous écrivez le contenu et le pays auquel il est destiné.

Answer The Public

Il s’agit d’un outil en ligne qui va mettre votre mot-clé sous toutes les formes, en question, avec des prépositions, des comparaisons, etc. Utile pour le référencement, cet outil l’est aussi pour votre charte éditoriale, car il vous permet de trouver des idées d’articles de blog et renforcer votre maillage interne.

Yoast SEO

Fonctionnant sous WordPress, ce plugin vous aide aussi pour le référencement naturel même dans sa version gratuite. En y entrant votre mot-clé principal, votre balise title et votre méta description, il vous informe si votre contenu satisfait aux critères de référencement actuels. Quand ses feux se mettent au vert, cela veut dire que celui-ci est bien optimisé.

Simulateur de SERP

Le simulateur de SERP fonctionne à peu près de la même façon. Il vous informe si vos balises sont dans les bonnes longueurs après que vous ayez copié-collé votre URL, votre titre ou encore votre méta description. Il se base sur le nombre de pixels de l’affichage de Google.

1.fr

Très utile, il vous permet d’enrichir votre champ lexical. En effet, cet outil vous indique les champs lexicaux représentés ainsi que leur expression mentionnée dans votre texte. Il vous donne aussi les résultats de son évaluation tant sur la forme que sur le fond de votre contenu textuel. Il fait de même pour la liste des mots qui manquent, sa fonctionnalité la plus importante.

Google Suggest

Cet outil du géant du web vous suggère les requêtes qui apparaissent automatiquement une fois qu’un internaute saisit un mot ou un groupe de mots dans la barre de recherche. En mettant une étoile avant, entre et après ces mots, vous verrez ce que les internautes y ont aussi tapé.

Outil de planification des mots-clés de Google Adwords

Avec cet outil, vous pouvez connaître le nombre de requêtes tapées tous les mois ainsi que celui de la concurrence. Vous serez ainsi au fait de la tendance au niveau des mots-clés afin d’affiner en fonction vos campagnes Adwords.

Outils de la rédaction web d’aide à l’organisation

Un rédacteur web ne peut pas non plus travailler correctement ou offrir un contenu de qualité sans les outils spécifiques qui lui permettent de booster sa créativité et améliorer sa façon de rédiger. Il en est de même pour l’organisation de ses idées et leur planification.

Feedly

Feedly est un outil de veille et de curation de contenu. Avec Feedly, vous êtes sûr de trouver de nouvelles idées d’articles à rédiger, de pouvoir vous en servir pour nourrir votre activité sociale média, de gérer vos commentaires de blog et d’avoir des partenariats en netlinking

Google Trends

Google Trends est aussi l’outil qui vous permet d’être au fait de la tendance dans le domaine que vous excellez. Il vous aide ainsi à connaître la popularité d’un mot-clé ou d’une expression et vous permet de comparer jusqu’à 5 mots afin d’en choisir le plus adapté.

Buzzsumo

Soyez aussi au fait de tous les contenus les plus partagés sur les différents réseaux sociaux en vous aidant de cet outil. Vous y indiquez seulement la thématique et la période concernée en n’oubliant pas de préciser que vous ciblez seulement les sites en français ou autre.

Google Analytics

En utilisant Google Analytics, vous êtes aussi en mesure de connaître la performance de vos contenus textuels. Ses statistiques comprennent le nombre des visites uniques de vos pages, les vues, le taux de rebond, le trafic en temps réel, etc. Vous pouvez orienter en fonction vos prochains textes.

Evernote

Avec Evernote, sauvegardez et classez vos informations sur le web en regroupant vos pages sources web, photos et vidéos, etc. Vous vous en servirez ensuite pour concevoir et rédiger vos contenus textuels.

Outils pour trouver des idées de contenu

Pour ne pas être à court d’idées ou être sujet au syndrome de la page blanche en attendant que l’inspiration vienne, l’usage d’autres outils spécifiques s’avère aussi nécessaire.

Quora

C’est le cas avec Quora, le réseau social de questions-réponses qui vous permet d’entretenir des relations avec des professionnels du domaine du marketing digital. Vous y trouverez aussi des sujets d’inspiration pertinents pour vos articles.

Reddit

Il en est de même avec Reddit, un outil avec lequel connaître les liens les plus appréciés du moment ou les plus partagés. Vous en tirerez des idées pertinentes à exploiter pour vos textes.

Livres de référence pour écrire en bon français

Les pages web ne sont toutefois pas les seuls outils du rédacteur web propices au métier de la rédaction web. Des livres de référence existent aussi et vous pouvez à tout moment les consulter pour écrire en bon français.

Un gros dictionnaire illustré

C’est le cas avec Le petit Larousse illustré 2019, un dictionnaire très complet et le plus encyclopédique.

Le Français correct

Il n’en est pas moins avec Le français correct : Guide pratique des difficultés. Il apporte une réponse claire et rapide aux difficultés suivantes : accords, conjugaisons, prépositions, homonymes, régionalismes, curiosités orthographiques, etc.

Lexique des règles typographiques en usage à l’imprimerie nationale

C’est aussi le cas avec le Lexique des règles typographiques en usage à l’Imprimerie nationale. Il vous guide à travers ses entrées alphabétiques indexées à plusieurs niveaux.

Livres sur la rédaction web

Quelques livres vous apprennent aussi tout sur la rédaction web et que vous pouvez utiliser pour améliorer vos compétences.

Rédiger pour le web Bien et améliorer son référencement naturel, Isabelle Canivet, Eyrolles (4e édition)

Apprenez avec toutes les ficelles de ce métier ainsi que le procédé d’amélioration du référencement naturel via une stratégie de contenu. Découvrez ce livre en cliquant ici.

Ergonomie web : pour des sites web efficaces, Amélie Boucher, Eyrolles

Ce livre vous fournit aussi les règles avec lesquelles parfaire l’ergonomie web de votre site pour que vos visiteurs puissent avoir envie d’y rester et d’y revenir.

Les sources de qualité

Les sources d’information sont l’un des outils clés de tous les rédacteurs indépendants. En lisant et en écoutant des experts, c’est le seul moyen d’écrire un contenu de qualité qui apporte de la valeur à l’utilisateur.

Google Scholar

Google Scholar est un service de la firme de Mountain View qui vous aide à trouver des articles scientifiques contenant les informations à forte valeur ajoutée pour votre audience.

The Free Library

Il en est de même avec The Free Library, une librairie virtuelle dans laquelle sont stockés des milliers d’articles que vous pouvez consulter pour enrichir en informations votre contenu.

Gallica

Gallica est une autre source d’information qui recense des milliers de documents classés par type, par thématique et par aires géographiques.

Questia

Il en est de même pour Questia, une bibliothèque en ligne qui vous fournit n’importe quelle source à n’importe quel moment.

Scribd

Vous pouvez faire de même sur Scribd, une plateforme sur laquelle consulter des livres numériques, des livres audio, des magazines, etc.

Outils du rédacteur web : les banques d’images

Les images sont des ressources qui ne doivent pas manquer dans nos textes si nous voulons les rendre plus clairs et visuellement attrayants pour nos lecteurs. Parfois, nous n’avons pas les moyens, les connaissances ou le temps de capturer des instantanés et nous devons utiliser une banque d’images et de photos avec des fichiers.

Creative Commons

Creative Commons est un autre outil source dans laquelle trouver des images libres de droits avec lesquelles alimenter en image vos contenus.

Pixabay

Sur Pixabay, vous pouvez aussi dénicher une grande variété de photos ou autres visuels de qualité que vous pouvez utiliser pour illustrer gratuitement vos contenus.

Flickr

Vous pouvez faire de même en rejoignant la communauté Flickr qui répertorie des dizaines de milliards de photos.

Canva 

C’est un outil de conception graphique qui vous aidera à créer des images, des logos, des miniatures, des affiches, etc. Vous aurez accès à plus d’un million de photographies et de modèles. Cliquez ici pour découvrir l’outil.

Les autres outils du rédacteur web

Un rédacteur web ne peut non plus s’adonner entièrement à sa passion sans un outillage professionnel qui
lui permet de travailler correctement.

Un ordinateur portable mac

On en cite un ordinateur (un Desktop ou un PC portable), l’essentiel est qu’il dispose des fonctionnalités minimales requises pour écrire, faire des recherches sur le Web et stocker des données. Vous pouvez par exemple choisir le portable Apple Macbook Air 13’’ doté d’un processeur de 1,8 GHz, une taille de mémoire vive de 8 GB et d’un disque dur de 128 GB.

Le Apple MacBook Pro 13’’ Retina Argent est également parfait pour un travail de rédaction web. Sa configuration est : Intel Core i5, 8 Go de RAM, SSD 128 Go, Intel Iris Graphics 6100, Mac OS Yosemite.

Ordinateur portable Asus

Vous pouvez aussi jeter votre dévolu sur l’ordinateur portable pas cher d’Asus Zenbook UX410UA-GV410T Ultrabook 14’’ Full HD Gris dont la configuration Intel Core i7, 8 Go de RAM, SSD 256 Go, Windows 10 satisfait amplement à vos besoins.

Une connexion internet

Enfin, une bonne connexion internet est l’un des outils du rédacteur web les plus indispensables, surtout, s’il veut pouvoir s’entretenir par Skype ou autre avec ses clients. Il s’en sert aussi pour faire ses recherches…

Business web

Comment débuter en business web

Se faire un nom dans le monde des affaires n’a rien de superflu et l’intérêt en est large. Il n’est jamais simple de trouver des clients et des partenaires ni même de faire connaître sa marque si ce n’est qu’en penchant vers le Business web. Se lancer à l’assaut du web constitue certainement une véritable course, n’empêche que pour progresser rapidement, il pourrait s’agir de son arme ultime. Pour bien débuter en business web, voici quelques bonnes pratiques.

Connaître ses concurrents

Bien avant même de faire une entrée solennelle sur le web, il convient certainement de connaître le milieu auquel on va intégrer. Il est absolument nécessaire de connaître ses concurrents, leur niveau de visibilité, leur concept et leur technique de communication pour attirer une foule de monde. Bien entendu, ce n’est pas pour les copier mais pour mieux se préparer à se démarquer et à voler la vedette. On dit souvent qu’un site récent ne vaut pas plus qu’un site déjà en activité depuis un bon bout de temps.

Et c’est le moment donc de prouver le contraire en imaginant le concept idéal pour sa clientèle ainsi que le produit qui bouleversera les habitudes des consommateurs. Après tout, tout se joue sur la concurrence ! Un internaute ne prend jamais une décision à la hâte sachant qu’il possède un embarras de choix de magasin devant lui.

Il se peut que deux ou trois sites proposent le même produit mais un seul saura influencer immédiatement la décision de l’acheteur. C’est de tout l’intérêt de faire une étude du marché, de connaître les offres et la demande et d’étudier de près ses adversaires pour mieux les faire couler. Pour ce faire, on aura besoin des experts.

Connaître son public

Lancer un Business web suppose une bonne connaissance de ses cibles. C’est quasiment un passage obligé avant de créer son site web. Faire une culture-client implique forcement de gros investissements mais comme on dit, il faut avoir une bonne lancée pour mieux sauter. De plus, en sachant les besoins de son client, on pourrait identifier facilement les offres ou les services qu’ils désirent solliciter.

Il convient de connaître son public en tenant compte de ses besoins présents sans pour autant compromettre ses besoins futurs. Pour ce faire, on s’appuie dans la plupart du temps sur ses profils clients ou profils persona. Il faut alors le définir en fonction de plusieurs éléments dont le sexe, la tranche d’âge, sa responsabilité, son poste, son cadre de travail, son statut ou sa classe sociale et même ses revenus.

Ensuite, on doit aussi imaginer ce que peut être sa personnalité et ses habitudes sur le web. Mais sans une équipe de professionnel, le plus dure reste à faire pour identifier le profil de sa clientèle. 

Plus tard, on sera amené à étudier le comportement de ses clients et à connaître le jour et les heures où ils se connectent, où ils consultent les produits et à quel moment de la journée ou de la semaine ils passent à la commande. En bref, connaître ses concurrents et son audience constituent des armes redoutables pour réussir son business sur le web.

avoir son site

Pourquoi créer un site internet pour son entreprise ?

Créer un site internet est indispensable pour chaque entreprise. Pourtant, aujourd’hui, seulement une PME sur trois possède un site internet. Alors que l’on vit dans un monde où l’internet est un outil incontournable pour se faire connaitre et pour augmenter son profit, certaines petites et moyennes entreprises ont un peu du mal à rentrer dans ce système. Pourtant, aujourd’hui, étant donné que la concurrence est bien rude, trouver ce petit détail qui fait la différence est important. Aujourd’hui, vous hésitez encore à créer un site internet ? Alors, découvrons ensemble les bienfaits que cela peut apporter à votre entreprise. Le point.

L’importance de s’afficher sur internet

Autrefois fait pour les grandes entreprises, aujourd’hui, internet est devenu un indispensable pour toutes les entités. Mais pourquoi donc est-ce si important de s’afficher sur internet ?

Tout simplement, parce que de nos jours, c’est un moyen excellent pour communiquer et rester en contact avec ses clients. Autrement dit, c’est un moyen incontournable pour se faire connaitre.

En outre, cela permet également un gain d’argent et de temps. En effet, avec un site web, on n’est plus dans l’obligation d’imprimer les affiches ou les brochures pour lancer sa promotion ou un nouveau produit. Il suffit de les diffuser sur internet.

Par ailleurs, les informations seront à jour, étant donné que l’on peut effectuer régulièrement certaines modifications. Aujourd’hui, étant donné que toutes les actions s’effectuent en ligne, avoir son propre site internet fait preuve de professionnelle et montre que l’entreprise est moderne.

L’importance du référencement

Cependant, très souvent, on pense qu’en ayant un site internet, on peut être tranquille ! Ce qui n’est pas du tout le cas, car un site web est comme un être vivant, qu’il faut régulièrement bouger.

De plus, les moteurs de recherche n’apprécient pas un site immobile. Pour se faire, il est plus que nécessaire de bien référencer le site. Mais comment y procéder ?

En premier lieu, il faut que le contenu du site soit intéressant, convaincant et facile à comprendre. En outre, il faut également que les mots-clés soient propres au service proposé. Les mots-clés tiennent en fait une place importante dans le référencement d’un site. Et enfin, il faut que le texte soit unique en son genre. Bien évidemment, en cas de besoin, il est toujours préférable de contacter un professionnel dans le domaine.

Vous devez aussi être référencé sur les annuaires afin de booster le trafic de ton site ou de ton blog.

L’importance de s’afficher sur les réseaux sociaux

Aujourd’hui, personne ne peut se passer des réseaux sociaux. Les réseaux sociaux sont en quelque sorte une extension du site vitrine. En effet, être présent sur les réseaux sociaux, c’est aussi montrer que l’entreprise bouge.

C’est également un moyen de partager les actualités de son activité. Par ailleurs, les réseaux sociaux et le site de l’entreprise peuvent être connectés en reliant les boutons et en faisant des liens. Pour faire simple, le site web est important pour augmenter sa visibilité et bien évidemment son profit. Seulement, pour que le résultat soit parfait et impeccable, il est préférable de tout confier entre les mains d’un professionnel dans le domaine.

En effet, une agence web est la mieux placée pour connaitre les meilleures techniques afin de garantir un site performant, facile à utiliser, haut de gamme et personnalisé.

rédiger pour le Web

Bien rédiger pour le Web : les livres pour une autoformation

Si avant, les contenus web étaient destinés exclusivement aux sites internet, dorénavant, ils sont de plus en plus utilisés pour les applications mobiles, dans les différents médias sociaux, etc. Pour devenir un bon rédacteur web, il faut donc faire preuve de souplesse, de créativité, d’une expertise avérée, mais surtout se démarquer. Toutefois, rédiger est une chose, et bien rédiger en est une autre ! Naturellement, une formation est nécessaire afin de réussir à rédiger pour le web et devenir un bon rédacteur web. Malgré que peu de formations spécialisées dans ce domaine soient accessibles à tous, devenir un bon rédacteur web est tout à fait faisable en devenant autodidacte.

Bien rédiger pour le Web : une tâche assez exigeante

Booster la visibilité d’un site web passe indéniablement par un bon référencement. Rédiger pour le web exige donc une expertise conséquente en création de contenu.

Un bon rédacteur doit apprendre à être un fin stratège, car la performance d’un site internet repose en grande partie sur les compétences de ce dernier. Le choix d’utilisation, l’emplacement et même la répétition de chaque mot et de chaque mot-clé sont importants.

En plus de posséder des compétences en rédaction, être polyvalent est une exigence. Le rédacteur web doit avoir des qualités en marketing, en communication et en référencement. Un internaute ne s’attardera pas sur une page qu’il juge sans intérêt ou qui l’interpelle peu. Alors, il faut rester clair, précis, aller à l’essentiel, tout en captivant le lecteur.

Quel intérêt y a-t-il à recourir à l’autoformation ?

Il faut souligner que le métier de rédacteur web n’est pas nouveau. Cependant, la profession a pris de l’ampleur ces dernières années. Avec la consécration du contenu comme élément principal de conversion des internautes, on comprend qu’il est essentiel de proposer de la qualité au public.

Qui parle de métier, évoque naturellement la formation. Cela s’entend qu’il est impossible de devenir rédacteur web sans initiation. Cependant, tout le monde n’a pas accès à une formation décente dans le domaine. Cette difficulté n’est pas pour autant une limitation, car il existe une alternative fiable et peu coûteuse pour devenir rédacteur web.

Autoformation : acquérez un important savoir sans vous déplacer et à petit prix

L’un des avantages majeurs d’opter pour l’autodidaxie est la faiblesse du coût de cette option. Davantage de personnes se passionnent de l’activité de rédaction web, mais n’ont pas accès à une formation décente.

Qu’il s’agisse de formations académiques, de certifications, etc., les coûts restent prohibitifs pour de nombreux prétendants à la profession. Par ailleurs, il n’est pas nécessaire de se déplacer pour aller vous former à un endroit particulier. Cela suppose aussi que vous pourrez exploiter vos documents durant vos voyages, etc.

La voie autodidacte est donc à envisager sérieusement. Fort heureusement, on trouve sur Internet des livres bien élaborés en matière de création de contenu web. Produites par des experts du métier, ces ressources regorgent d’un volume important de renseignements pertinents pour l’autodidacte.

S’appuyant sur des approches simples et pratiques, ces livres de quelques euros constituent de véritables outils de poche pour découvrir et approfondir ses connaissances sur la rédaction web. En comparaison à des options de formation plus chères à des centaines, voire à des milliers d’euros, l’autoformation représente un investissement valable.

Autodidaxie : la possibilité de multiplier les formations

Naturellement, le coût accessible de l’autoformation a d’autres répercussions. Il vous est possible de multiplier les formations. Cela n’est pas nécessairement le cas avec des formations plus chères.

On pourra trouver sur le marché des ouvrages à quelques dizaines d’euros sur le sujet qui nous intéresse. Puisque ces livres ne sont pas identiques, vous pourrez vous en procurer quelques-uns afin d’obtenir une connaissance plus étendue sur la rédaction web.

En effectuant une étude croisée des ressources à votre disposition, il sera possible de renforcer votre compréhension de certains points mieux développés dans l’un des documents.

Autoformation : recherchez des auteurs de renom

Comme on parle d’autoformation, il est important de se documenter. Heureusement, il existe plusieurs ouvrages écrits par des auteurs de renom comme Claude Couillard ou encore Muriel Gani, qui nous permettent d’en apprendre plus sur le métier.

La plupart de ces livres ou guides de rédaction contiennent assez d’informations utiles pour réussir dans la rédaction web. Il est donc primordial de maîtriser les notions de base pour produire de bons contenus web.

Étant donné que l’un des buts des publications figurant sur la toile est d’accroître la notoriété de son site, un autodidacte doit être bien outillé sur le sujet. Nous avons sélectionné pour vous quelques ouvrages utiles et pratiques qui vous aideront à enrichir votre site et votre contenu web.

Lire ces 3 ouvrages est une étape qui pourra vous ouvrir les portes vers des horizons plus larges. Partenariat rédactionnel entre blogueurs ou entre rédacteurs, vous aurez les clés en main pour faire votre propre réussite.

La boîte à outils Écrire pour le Web de Muriel Gani

Muriel Gani est une vraie professionnelle dans l’univers de la production de contenu web. Elle se distingue par ses années d’expérience qui lui ont permis de jouir d’une certaine notoriété actuellement.

rédiger pour le web

Voir le livre sur Amazon.fr

  • Elle est une référence en la matière. Son livre « Écrire pour le web » nous explique en détail comment :
  • Élaborer un texte attrayant pour les internautes
  • Étendre la visibilité de son site web et améliorer son classement sur les moteurs de recherche comme Google 
  • Rédiger pour se démarquer sur les réseaux sociaux.

Ce précieux ouvrage nous propose des outils indispensables afin de bien rédiger pour le web. Cette auteure vous fait part de diverses méthodologies pour vous aider dans votre autoformation.

Son livre développe de A à Z toutes les astuces pour réussir à écrire efficacement et continuer à progresser selon les tendances du web.

Bien rédiger pour le web : Stratégie de contenu pour améliorer son référencement naturel de Isabelle Canivet

rédiger pour le webVoir le livre sur Amazon.fr

Parce qu’améliorer son référencement naturel n’est pas toujours facile, ce livre de 700 pages « Stratégie de contenu pour améliorer son référencement naturel » nous donne des solutions pertinentes pour maîtriser les rudiments de la rédaction web et les techniques d’optimisation de contenu pour les moteurs de recherche.

Malgré le volume important de l’ouvrage, chaque page nous permet d’en savoir plus sur la thématique traitée. Allant sur des bases fondamentales de la production de contenule renforcement de la réputation d’un site web, jusqu’aux techniques les plus avancées comme le langage HTML, les hyperliens, etc., Isabelle Canivet a compilé dans son œuvre de véritables ressources utiles pour produire des contenus riches et captivants.

Une fois que vous aurez profondément exploité ce livre, vous pourrez devenir un expert en marketing, en technique d’écriture journalistique, mais aussi en audit et analyse de cible. En bref, si vous voulez briller dans cette profession, nous vous recommandons vivement de vous approprier cet ouvrage.

Rédiger pour le Web : vers une Écriture multimédia de M Xavier Delengaigne

Avec la transformation continuelle de la toile et son rôle comme outil essentiel dans la communication d’une société, M Xavier Delengaigne met l’accent sur l’importance de bien rédiger ses contenus web dans son livre « Vers une écriture multimédia ».

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À travers son ouvrage, cet auteur nous aide à en savoir plus sur l’importance de bien rédiger pour le web. Le livre est riche en conseils d’écriture (respect de la grammaire, de l’orthographe, des mots clés, etc.) et il nous enseigne comment se différencier des autres, et surtout comment continuer à captiver les lecteurs.

En évoquant les liens hypertextes, les podcasts, les interviews, les forums, les contenus vidéo et audio, il nous explique comment on parvient à mettre à profit toutes les nouveautés du web pour enrichir sa stratégie de contenu web.

Notre objectif principal étant de devenir un bon rédacteur, ce livre est une importante source de savoir et nous donne les outils essentiels pour avoir une plume en or et se forger une solide réputation.

Où trouver son livre d’apprentissage à la rédaction web ?

Les livres d’initiation à la rédaction web sont disponibles sur Internet. Vous les retrouverez généralement sur des sites de vente en ligne de renom. Amazon.fr demeure la référence en la matière.

À présent que vous êtes bien informé, il ne vous reste plus qu’à vous procurer l’un des livres évoqués ou tout simplement les trois. Rendez-vous sur le web pour l’achat de votre copie. Vous pourriez même l’avoir en promotion.

Qu’il s’agisse donc de commencer ou de perfectionner son style de rédaction, lire est essentiel. Cela nous permet non seulement de nous instruire, mais aussi de rester au parfum des nouveautés du web. En effet, avec le rythme effréné des innovations sur Internet, nous pouvons rapidement perdre le fil.

Vu que le contenu est roi, il est l’élément principal pour atteindre une forte notoriété en ligne. De fil en aiguille, votre réussite se profilera à l’horizon si vous maintenez le cap. On ne visitera plus alors votre site par hasard, mais par choix. Pour parvenir à ce résultat, il est donc important de maîtriser l’art de la création de contenu web.

Un apprentissage est donc nécessaire. Vu le coût élevé des formations classiques, l’alternative de l’autodidaxie représente un investissement viable et économique.

 

 

correcteur orthographique

Correcteur d’orthographe : l’outil indispensable pour vous aider à corriger vos écrits

Le Web est progressivement devenu une plateforme informative, incontournable et des milliards d’utilisateurs s’y renseignent au quotidien.

Pour cette raison, il est impératif de bien rédiger vos contenus afin de fournir à votre audience des documents de haute qualité.

En d’autres termes, le contenu de votre blog ou site web doit être exempté de fautes d’orthographe qui pourraient vite vous discréditer aux yeux de vos lecteurs, et ce, même si le sujet reste intéressant.

Le combat contre de pareils désagréments se livre quotidiennement, d’où mon engagement à y prendre part le long de cet article qui traite le sujet sur les fautes d’orthographe.

Pour un rédacteur web, cet article est un vrai Graal où il pourra comparer une liste de correcteurs d’orthographe. Cependant, je vous recommande de les utiliser à bon escient, car un correcteur d’orthographe peut vous nuire en rajoutant des fautes.

Pourquoi utiliser un correcteur d’orthographe ?

Toute publication étant visible par n’importe qui, le mieux serait d’effectuer une relecture et une correction des textes au préalable.

C’est important de le faire parce qu’un texte bondé de fautes d’orthographede grammaires, d’erreurs typographiques, etc. sera critiqué. De plus, le site ne sera apprécié pour la pertinence de son contenu.

Toutefois, dans la mesure où vous n’auriez pas le temps de vous en occuper, le mieux serait de faire aux services d’un rédacteur web professionnel.

Alors quels sont mes outils favoris qui vous mettent à l’abri des fautes ? 

Correcteurs d’orthographe :  ma sélection

Lors de votre navigation sur le web, vous trouverez plusieurs logiciels correcteurs ayant déjà été créés.

Voici pour vos besoins une liste de correcteurs d’orthographe que nous avons soigneusement sélectionnés.

Antidote 9, le correcteur d’orthographe multitâche

correcteur d'orthographe

Sa classification en tête de liste n’est pas fortuite. En effet, au-delà des fautes d’orthographe, de langue, ce correcteur d’orthographe peut s’activer pendant ou après vos écrits.

Il prend en compte des erreurs et alertes typographiques et des alertes stylistiques. Antidote met en lumière trois grands classiques de la stylistique : les répétitions, les tournures de phrase et le vocabulaire.

correcteur d'orthographe

Ce module de correction adaptée vous signale les redondances et vous explique pourquoi il y a une faute. En plus d’être un correcteur d’orthographe, je vous rassure que c’est un véritable outil d’aide à la rédaction grâce à ses outils complémentaires et ses dictionnaires qui fournissent des synonymes, antonymes, définitions, locutions, etc.

Facile d’usage, il souligne les fautes sous différentes en fonction de la nature de la faute dans votre texte.

C’est donc tout naturel qu’il soit si apprécié par les utilisateurs. Derechef, sa technologie Anti-Oups vous assure l’envoi de courriels toujours soigneusement révisés, sans pièces jointes oubliées.

Vendu sur Amazon, il s’installe sur votre ordinateur. Antidote vous assiste dans la correction de tous vos écrits sans exception qu’il s’agisse de e-mails, publications, documents Word, Excel, PowerPoint et autres, etc.

Cliquez sur l’image pour l’obtenir

Il est important de savoir que le processus d’installation tient compte des questions qui vous sont posées, de votre niveau de langue, de votre langue primaire etc.

Ceci pour une optimisation de l’outil à vos réels besoins et pour des conseils mieux orientés. Alors pour vous qui en avez besoin à plus d’un titre, c’est un investissement qui en vaut le coup.

Bonpatron : correcteur de grammaire et d’orthographe

correcteur d'orthographe

La clarté et la précision sont indiscutablement deux de ses grands atouts. Bonpatron ne vérifie pas plus de 500 mots d’un coup et tient compte des règles générales de la langue.

Il propose à cet effet plusieurs options dont il vous suffira de cocher en fonction des éléments sur lesquels vous souhaitez vous appesantir.

Les erreurs grammaticales et orthographiques sont respectivement expliquées dans une bulle et corrigées tout en proposant une liste de mots allant dans le même sens. Avec ceci, nous sommes sûrs que vous serez bien servis.

Scribens

correcteur d'orthographe

Assez précis et ergonomique à notre avis, scribens corrige avec beaucoup de clarté. Différentes couleurs sont mises en exergue suivant la nature de la correction qu’il s’agisse de la ponctuation, de la grammaire, de la mise en pages ou de l’orthographe.

Vous pouvez paramétrer le genre et personnes utilisés dans les écrits à corriger. En cas de fautes détectées, la correction s’accompagne toujours d’un petit rappel de la règle qui n’a pas été respectée.

L’efficience et la capacité de ce logiciel en langue française contribueront à vous produire des documents de qualité. Simple et ludique, cet outil éducateur au-delà de vous corriger, vous rappelle aussi les règles de grammaire concernées.

Cordial, un correcteur orthographique et de grammaire

correcteur d'orthographe

En plus de corriger, Cordial, qui prend 1000 mots en version gratuite, a lui aussi, la capacité de donner des explications à chaque faute trouvée.

Alors si vous avez une bonne mémoire, vous assimilerez peu à peu ces leçons. Il est important de savoir que l’outil corrige à 90 %. Plutôt complet, il agit aux niveaux de la ponctuation, de la grammaire et de l’orthographe.

De plus, son site internet dispose d’un manuel de grammaire et d’un dictionnaire. Vos fautes sont mises en exergue pour que vous les voyiez facilement.

C’est ainsi que la couleur rouge indique une faute d’orthographe tandis que la couleur bleu, une faute de grammaire.

Obtenez la version Pro en cliquant sur l’image ci-dessous. Bénéficiez des corrections adaptées au monde professionnel avec des dictionnaires thématiques par métier, une analyse linguistique, syntaxique, lexicale et stylistique de vos textes.

cliquer pour l’obtenir

Reverso : correcteur d’orthographe automatique

correcteur d'orthographe

C’est un outil de traduction en ligne hyper performant.

Ce module de correction et de traduction en ligne a une capacité de 2000 mots. Reverso traduit des textes en anglais, allemand, espagnol et italien.

Il répond à vos attentes vis-à-vis des fautes d’orthographe les plus gênantes et évidentes qu’il corrige d’ailleurs automatiquement. Au moment où la faute ou une correction est possible, l’outil corrige et souligne le(s) mot(s) concerné(s) et vous n’aurez plus qu’à choisir.

Au-delà de la correction, Reverso vous explique en quoi il y a eu une erreur et vous rappelle les règles non respectées. Cependant, l’outil a certaines limites comme quoi il  ne peut détecter  toutes les erreurs grammaticales.

Vous devez dans ces conditions toujours relire le contenu pour choisir la meilleure proposition et utiliser les outils de grammaire et de conjugaison pour corriger les éventuelles fautes qui n’ont pas été identifiées.

Une analyse menée par Reverso a indiqué que plus de 3 textes en français sur 10, soumis à l’outil de traduction en ligne, contiennent des fautes pouvant être rectifiées de manière automatique.

Une chose que nous adorons sur Reverso, c’est le fait de pouvoir donner un avis sur la correction et indiquer des corrections erronées ou des fautes non identifiées. C’est important puisque cela aide à fournir aux personnes qui l’utilisent un outil de plus en plus performant.

Reverso est un correcteur qui a été créé et développé par Reverso-Softissimo en rajout de la traduction en ligne. C’est un outil qui utilise les technologies développées par Synapse Développement.

Larousse

correcteur d'orthographe

Ce n’est pas un logiciel de correction, mais plutôt un dictionnaire avec définitions de mots, synonymes, antonymes et bien d’autres paramètres.

L’outil vous permet d’avoir l’orthographe correcte des mots ainsi que leurs significations en cas de besoin. Il est donc d’une importance capitale pour les rédacteurs web.

Français facile : le correcteur français complet

correcteur d'orthographe

C’est un correcteur en ligne complet.

Français facile met beaucoup d’emphase sur l’explication des règles relatives aux fautes. Il propose des exercices visant à tester et améliorer votre niveau personnel en connaissance de la langue.

LanguageTool, le correcteur de réflexion

correcteur d'orthographe

Tout comme les précédents à l’exception de Larousse, LanguageTool est un correcteur d’orthographe et grammatical multilingue.

Ses langues sont : le français, l’anglais, l’allemand, le polonais, le breton, l’espéranto et plus de 20 autres.

Il détecte des erreurs que d’autres correcteurs gratuits n’arrivent pas à déceler comme l’homonymie, certains accords et certaines conjugaisons.

L’outil ne corrige pas automatiquement tout le temps comme c’est le cas avec les autres outils de correction automatique.

Il y aura donc des moments où vous devrez vous démener pour corriger par vous-même suivant le canevas que le logiciel vous aura suggéré, tout simplement.

Certes, vous apprenez plus vite avec cette méthode, mais pour quelqu’un qui a de sérieuses difficultés en orthographe, cela ne doit pas être une partie de plaisir.

spellboy : le vérificateur instantané des erreurs d’orthographe et aussi de grammaire

correcteur d'orthographe

Voici un outil qui pourra vous aider à trouver de nombreuses fautes que MS Word ne pourra identifié. En plus des erreurs orthographiques basiques, spellboy identifie les fautes grammaticales et de langue.  L’outil prend également en charge onze langues.

L’accompagnement littéraire

Il est important de connaître ses faiblesses et ses manquements. Si vous êtes conscients de ne pas être très apte dans le domaine, rapprochez-vous d’un professionnel en la matière.

En œuvrant main dans la main, vous pourrez apprendre peu à peu au point de ne plus avoir besoin de son aide à la longue alors n’hésitez surtout pas. Un accompagnement littéraire dans ce cas peut être sollicité en amont, pendant et en aval de l’écriture. Cela vous évitera de devoir tout effacer et réécrire à chaque fois pour cause d’erreurs à ne surtout pas laisser passer. Vous gagnerez ainsi en temps, en efficience et en qualité.

Pour terminer…

Si ces correcteurs sont d’une grande aide au quotidien, il est judicieux de souligner qu’ils regorgent chacun de quelques lacunes. N’oubliez pas que ces outils ne sont pas infaillibles et qu’ils ne remplacent pas une relecture attentive et humaine. Ils sont plutôt des aides précieuses pour vous accompagner dans votre processus d’écriture et vous faire gagner du temps.

À mon avis, il est nécessaire de travailler avec plusieurs correcteurs. Certains pourront combler les manquements des autres, ceci dans le but d’obtenir des textes impeccables. Les outils payants sont cependant plus complets que les outils gratuits. Vous pouvez cliquer ici pour découvrir plus d’outils pour corriger rapidement ses fautes en ligne.

Plus loin, l’investissement en vaut parfois la peine pour l’obtention de textes irréprochables, fonction de la qualité des écrits qu’on veut produire. Toutefois, même si les logiciels de correction ont fait d’énormes progrès, ils demeurent toujours moins efficaces que notre cerveau.

Nous verrons comment les choses évolueront sur les années à venir, mais pour l’instant, humains et logiciels entretiennent un rapport de complémentarité indéniable

logiciel anti plagiat

Logiciel anti-plagiat : le top 6 de détecteurs de contenu dupliqué gratuits en ligne

Le plagiat est l’acquisition d’un contenu (un texte, une image, l’utilisation d’une photographie, etc.) sans l’octroyer à son auteur. Il n’a pas pour seule victime le site copié ; il favorise aussi le philistinisme. Bien que parfois involontaire, cela peut également entraîner de gros ennuis. Des méthodes que les nouvelles technologies les combattent et par la même occasion les favorisent. D’un côté, on a le web qui met en place des tonnes de données à copier-coller et de l’autre, les logiciels anti plagiat qui détectent des cas les plus flagrants.

Cependant, il est important de savoir que ces logiciels anti plagiat sont dans l’incapacité de tout détecter, vu que les algorithmes de détection sont faciles à contourner : en utilisant des mots synonymes, en utilisant plusieurs mots pour exprimer une notion qu’un seul terme pourrait désigner, en ajoutant des espaces insécables, des coquilles, etc.

Quelles sont les conséquences du contenu dupliqué ?

Le plagiat est sévèrement sanctionné non seulement par Google, mais aussi par la loi. Avec les preuves d’ancienneté du contenu, des liens propres et une contenu rédactionnel, un site copié peut faire-valoir sa légitimité.

À contrario, le site copié verra un déclassement des pages incriminées chuter dans les résultats de requêtes, voire une désindexation. Vous voyez donc à quel point le duplicate content est en tous points contre productifs dans le référencement naturel de votre site ou blog.

Le fait de dérober le contenu web d’autrui peut entraîner plusieurs conséquences :

  • Une perte de revenus pour certains ;
  • Dupliquer du contenu engendre aussi une baisse de l’image de marque en ligne, ou e-réputation ;
  • Une perte de temps, etc.

Sur le point pénal à titre illustratif, vous pourrez prendre jusqu’à deux ans voire trois ans d’incarcération et verser un montant d’au moins 150 000 € d’amende, ou encore 300 000 € pour contrefaçon, comme prévu par les articles L335-2 et L335-3 de la Loi régissant la propriété intellectuelle.

Qu’importe, cela vous oblige à jouer au policier pour faire cesser la reprise par les plagiaires. La crédibilité d’un blog où des articles se répètent, ou pire encore, où le contenu est complètement le même que chez le concurrent, va chuter, et les internautes ne vont plus consulter vos pages.

2 astuces pour se protéger contre le plagiat

Plusieurs astuces existent pour vous protéger contre le plagiat :

Sur votre site ou votre blog, il faut indiquer les restrictions :

En amont, c’est important de se prémunir contre le vol et de cette façon, gagner un temps précieux à l’avenir. Vous pouvez également indiquer d’une manière claire aux personnes qui consultent les articles de votre site ou de votre blog est sous copyright ou une « propriété privée ».

Une seconde astuce est d’empêcher le duplicate content

Une méthode facile et très efficace qui permet de supprimer une bonne partie des plagiaires serait de verrouiller le clic droit de votre souris. Cela ne représente pas une solution sûre, mais cela peut aider.

Pareillement, vous bloquerez aussi les personnes qui aimeraient citer une partie intéressante de vos articles en citant bien entendu la source. Donc, c’est à vous de juger et de voir si cette solution est efficace pour vous.

Nos tops 6 logiciels anti plagiat gratuits

Le plagiat étant une infraction, il existe fort, heureusement des logiciels anti plagiat gratuits qui vous permettront de combattre et d’éviter le délit de contenu dupliqué. Voici une liste des meilleurs que nous avons dressée pour vous.

L’outil de duplicate content de Positeo

logiciel anti plagiat

Simple d’usage et doté d’une célérité inégalée, positeo passe en tête de notre liste. En français et non encombré par du content marketing excessif, c’est un outil de test de plagiat qui fournit des résultats irréprochables pour ce qui est de la fiabilité et de la précision.

Comment ça marche ?

Il vous suffit de copier et de coller votre texte ou l’URL puis de cliquer sur le bouton « vérifier ». Les listes de pages potentiellement plagiées s’affichent par la suite avec les pourcentages de plagiats. Les mots les plus récurrents sont mis en exergue de façon à être plus visibles que les autres.

Duplicate Content Checker

logiciel anti plagiat

Plaisamment présenté, ce logiciel d’analyse de plagiat gratuit est en anglais et procède exactement de la même façon que Positeo. Il suffit de copier-coller l’URL ou la rédaction puis confirmer la Vérification et les résultats s’affichent, tout simplement.

Il est important que nous soulignions que contrairement à certains outils gratuitsDuplicate Content Checker tient compte des textes en français même si d’origine, il est en anglais.

L’outil de vérification de plagiat Copyscape

logiciel anti plagiat

Plus performant en version payante, Copyscape donne la possibilité de comparer 2 textes ou deux URLs. Largement efficace, ce logiciel offre la possibilité de vérifier si des pages web contiennent du contenu plagié ou non.

Nous nous devons tout de même préciser que son usage dépend du besoin, car dans ce cas précis, l’étendue de la vérification du contenu plagié se limite à deux sources seulement. Cependant, c’est un outil redoutable qui agit en complémentarité à plusieurs autres logiciels de notre liste.

Le test de plagiat Quetext

logiciel anti plagiat

En anglais, lui aussi, Quetext est superbe à notre avis. Mais hélas, il n’offre pas la possibilité de vérifier l’URL. Vous devrez alors à chaque fois, copier intégralement le texte puis le coller dans le software afin d’effectuer la vérification.

En dehors de cela, il est performant quand il s’agit de déceler des contenus copiés et pour une grande précision, sélectionnez simplement « calculate Similarity Score ».

L’outil d’analyse de plagiat gratuit Plagiarisma

logiciel anti plagiat

Cinq fois plus rapide, Plagiarisma est efficace, capable de détecter le plagiat mosaïque et de vérifier des textes sous diverses formes telles que htm, Rtf, Doc, PDF.

Toutefois, tandis que les résultats de la recherche sont immédiatement accessibles sur Yahoo, ce n’est pas pareil sur Google avec lequel l’inscription sur le site est exigée avant l’accès aux résultats.

Alors pour ceux qui souhaiteraient éviter d’avoir à s’inscrire pour accéder aux résultats, il vous suffira d’utiliser Yahoo qui est indiscutablement un canal crédible sur le plan de renseignement.

L’outil de test de plagiat Scribbr

logiciel anti plagiat

En plus d’être multilingue, sécurisé, confidentiel, rapide, efficace et fiable, Scribbr vous assure également une assistance 24h/24. Sa base de données est constituée de milliards de sources internet.

Ce logiciel fonctionne pareillement aux autres et suit le canevas téléchargement ou copier-coller, détection, résultats puis assistance si besoin d’aide.

Il ne vous suffira que de 10 minutes environ pour savoir si le contenu est dupliqué ou non et comment rectifier cela.

In fine, nous venons de vous armer d’une série de logiciels anti plagiat qui vous éviteront de dupliquer les contenus des autres tout en vous permettant de retrouver des contenus volés.

Notre préférence : le logiciel anti plagiat Duplicate Content de Positeo

Les facteurs justifiants notre choix sont entre autres sa simplicité, sa facilité d’utilisation et sa crédibilité en matière de résultats.

Ce logiciel anti plagiat est d’une dextérité et célérité à nul autre pareil. Ses résultats regroupent toutes les pages ayant des similitudes avec votre travail à un pourcentage alarmant. Ce logiciel vous aidera tout simplement à rédiger des contenus uniques.

fiche produit

Fiche produit : comment rédiger et l’optimiser pour le référencement ?

Une fiche produit désigne une page web élaborée par un producteur sur laquelle sont mentionnées les caractéristiques techniques, marketing, logistiques et administratives d’un article en vente sur un site e-commerce.

Notre objectif dans cet article est de déceler tous les secrets liés à la rédaction et à l’optimisation d’une fiche produit.

Comment rédiger une fiche produit qui fait mouche ?

Plusieurs éléments dont vous ignorez parfois l’intérêt sont mis à votre disposition lorsque vous décidez de rédiger une fiche produit qui vous positionnera tout en haut des moteurs de recherches. Voici les étapes à respecter :

Connaître parfaitement ses produits

C’est la première étape : elle consiste à collecter et rédiger les informations sur le produit que vous souhaitez vendre.

N’hésitez surtout pas à mettre du contenu, car si un potentiel acheteur se retrouve face à votre fiche, il devra y trouver toutes les informations susceptibles de le convaincre pour l’achat d’un quelconque produit.

Vous devriez mettre un accent particulier sur les points tels que les caractéristiques principales, le mode d’emploi, l’utilité et la complémentarité du produit avec les autres produits en stock.

Faire preuve d’empathie avec le consommateur

Il s’agit ici de se mettre à la place du consommateur, de présenter le produit de telle sorte que si vous-même étiez un potentiel acheteur, vous serez attiré par la présentation du produit.

L’internaute doit être à mesure lorsqu’il lit votre fiche produit, de s’imaginer au quotidien avec le produit. Donc ne pas hésitez d’ajouter des conseils personnels d’utilisation.

Intégrer les mots clés aux endroits stratégiques

Vous devez utiliser les mots dans un jargon compréhensible par le consommateur, à cela, assurez-vous de rédiger un contenu original et unique, car l’internaute ne doit pas avoir l’impression de l’avoir déjà vu lorsqu’il le lit.

Faites preuve de créativité en intégrant vos mots clés en gras aux endroits stratégiques. Ainsi, votre article sera mis en première page par Google en gardant en tête que votre fiche produit est le contenu le plus en vue de votre site et que c’est justement grâce à elle que vous aurez le plus de trafic et par ricochet de visiteurs.

Les petits plus à apporter et à ne pas oublier pour votre fiche produit

Il s’agit ici d’autres éléments que vous pourriez facilement utiliser afin de renforcer la visibilité de votre fiche produit :

Insérer des photos

Étant donné que l’acheteur n’a pas l’opportunité de toucher le produit sur internet, nous vous conseillons d’ajouter à vos contenus des photos de bonnes qualités afin qu’il soit plus en contact avec le produit. Il est recommandé que ces photos se présentent sous forme de vignettes avec possibilité de zoomer.

Monter une petite vidéo de présentation du produit

Une vidéo va augmenter vos ventes, car non seulement grâce à elle vous vous démarquez de vos concurrents, mais aussi elle rend le produit plus réel et accessible. Une vidéo 3D est plus recommandée.

La vente additionnelle

Elle consiste en plus de votre produit, de proposer d’autres produits complémentaires. Comme exemple, vous pouvez associer à un fond de teint, sa lotion démaquillante.

Des lots à gagner

Ce sont des offres spéciales que vous faites à vos clients à l’achat d’un produit. Par exemple pour un kit de maquillage acheté, vous pouvez décider de donner en récompense un sac ou coffre de transport.

L’avis des internautes

Il s’agit ici de réserver un endroit sur votre site à vos clients ou ils auront la possibilité de laisser leurs impressions du produit.

Les réseaux sociaux

De nos jours, tout nous est pratiquement accessible par le biais des réseaux sociaux d’autant plus que tout le monde s’y trouve. Faites-y des publicités et invitez les visiteurs à partager vos fiches produits.

Si vous respectez à la lettre toutes ces instructions, soyez sûres, vous détenez la clé de la réussite de votre fiche produit.

Les erreurs à éviter dans la rédaction de vos fiches

Certaines erreurs sont à ne pas commettre lorsque vous voulez rédiger une bonne fiche produit. Nous vous conseillons de :

  • Ne pas afficher votre fiche produit dans une fenêtre pop-up :

cela rend difficile la navigation, et en plus n’aide pas à votre bon référencement.

  • Construire chaque fiche produit de façon différente :

le contenu doit certes être unique, mais veillez tout de même à garder une certaine cohérence pour ne pas perdre le prospect.

  • Utiliser un langage trop professionnel :

Il ne s’agit pas ici d’un concours d’orthographe ou d’expression orale, utiliser un jargon qui soit facilement compréhensible par le client.

  • Eviter de faire le copier/coller de la description du fournisseur ou celle d’un concurrent :

Dites vous que le client avant d’atteindre votre site a parcouru de nombreux autres sites. De ce fait, il a besoin de quelque chose de nouveau lorsqu’il accède à votre site.

  • Générer du contenu automatiquement :

soyez précis et concis et évitez de rédiger du contenu inutile car le visiteur ne lit que ce qui est lui est utile pour l’achat de son produit.

La fiche produit est le contenu le plus important de votre site. Tâchez donc de ne pas commettre des erreurs, car le trafic de votre site est tributaire de la qualité de votre fiche produit.

Dans la mesure où vous n’aviez pas les compétences requises pour l’élaborer vous-même, n’hésitez pas à la confier aux mains de personnes qualifiées pour cela.

10 exemples de fiche produit

Ici, nous vous avons sélectionné 10 exemples de fiches produits exécutées avec succès afin de vous aider dans la mise en page et la conception de la vôtre :

Exemple 1 : la fiche produit de FIFTY three

fiche produit

Cette marque fabrique et distribue des produits destinés aux téléphones. Parmi ces produits, nous avons stylet en bois utilisable pour iPad et iPhone.

Ce qui est à retenir dans ce type de fiche produit est qu’elle est très concise, car elle renseigne toutes les informations importantes.

Ici, on remarque que le produit est décrit en de petits paragraphes aérés et par des images. Il est conseillé d’éviter les longues descriptions, car elles peuvent décourager l’internaute.

Exemple 2 : la fiche produit de Zalando

fiche produit

Zalando est un site allemand dont l’activité principale est la vente de vêtements et de chaussures. Ses fiches produits sont caractérisées par une galerie d’images de qualité, la parfaite visibilité du bouton d’ajout au panier, la mention des avis clients et des informations relatives à la livraison. On remarque aussi que les produits sont décrits sous forme d’une liste à puce.

Exemple 3 : la fiche produit de Victoria’s Secret

fiche produit

Ce site commercialise des produits de lingerie, d’habillement et de beauté féminins. Sa fiche produit est dotée d’une forte présence d’images de grande taille.

Leurs modèles tels que nous voyons sont portés par de vrais mannequins ; ce qui apporte un plus à la fiche.

Nous observons aussi la présence du bouton d’ajout au panier, celui des réseaux sociaux et celui de la mention des termes d’échanges et de retour.

C’est une idée judicieuse d’avoir placé le bouton qui comporte les informations de la livraison juste à côté de celle d’ajout panier ce qui permet de rassurer les visiteurs.

Exemple 4 : la fiche produit de LaRedoute

fiche produit

La Redoute distribue des produits de prêt-à-porter et de décoration d’intérieur. Ce site est l’un des tout premier en France. La structure de fiches produites est excellente.

Leur stratégie est de mettre en avant les produits associés de telle sorte qu’ils apparaissent en Très-Haut dans la page.

Toutefois, nous avons quelques remarques à faire sur cet exemple : Nous notons premièrement une absence des informations liées à la livraison et les retours, ensuite la couleur grise choisie pour le bouton d’ajout panier la rend très pâle.

Exemple 5 : la fiche produit  d’Amazon

fiche produit

Plus besoin de le présenter, car il est connu comme l’un des plus grands sites de vente sur internet. Leurs fiches produits sont des exemples pour les autres sites.

Ce site est l’un des premiers à avoir accordé un espace aux avis des clients et à proposer d’autres produits similaires. Ici aussi nous observons une bonne visibilité du bouton d’ajout panier et des informations relatives à la livraison.

Exemple 6 : la fiche produit d’Indochino

fiche produit

Indochino est un site qui propose des costumes ajustables et personnalisables pour homme. Tel que présenté sur la capture ci-dessus, leur choix a été de placer les images du côté droit de l’écran.

Le bouton de réduction est très bien placé et saute tout de suite aux yeux. On remarque aussi sur l’image la présence des boutons d’ajout panier et de personnalisation.

De plus, le choix d’une police de taille inférieure pour la liste à puces pour énumérer les caractéristiques produits permet d’organiser les éléments de texte.

Exemple 7 : la fiche produit de Fitbit fiche produit

Il est connu pour la qualité de ses fiches produits dont la structure se démarque des autres. Le bloc d’images est placé à droite, tout en haut et le prix tout en bas.

Le paragraphe placé en haut à gauche décrit l’intérêt et la valeur du produit plutôt que ses caractéristiques. Le bouton d’ajout panier va à l’encontre des recommandations générales vu qu’il est très en retrait. L’accent mis sur les fonctionnalités du produit indiquées au moyen d’une mise en page très réussie.

Exemple 8 : la fiche Produit d’Ayanature

fiche produit

Cette fiche Produit est très lisible et complète. Cependant, on constate ici que les informations principales se baignent et ne sont pas visibles. Le bouton ajout au panier est très en bas ce qui oblige l’internaute à passer sur la fiche produit chose qui pourrait ralentir la passation de la commande.

Exemple 9 : la fiche produit de Savons Gaiia

fiche produit

La fiche produit de Savons Gaiia est très attrayante avec ce visuel très présent du savon. Malgré que certains contrastes ne soient pas assez prononcés, tous les éléments sont par contre bien intégrés. De plus, on a l’impression que l’écran flotte, car la fiche n’est pas dans un bloc.

On retrouve l’essentiel à savoir le prix, le poids, une courte description et un bouton d’ajout au panier très élégant au niveau des informations. Cependant, les informations sur le stock et les délais de livraison ne sont pas mentionnées.

Exemple 10 : la fiche produit de Bellroy

fiche produit

Leur fiche produit met en avant le produit et est illustrée avec des photos produits bien détaillées.

La description est bien vu et est assez lisible. Aussi, l’idée de mettre une vidéo est judicieuse, car elle ajoute un plus. Le bouton ajouter au panier est placé où il faut avant les « Features » ce qui permet d’augmenter le nombre de clics.

Nous remarquons cependant que la disponibilité du stock n’est pas mentionnée.

En définitive, il nous revient de dire qu’une fiche produit étant l’élément essentiel dans la rédaction de vos contenus, il est primordial de bien se renseigner sur les éléments qui rentrent dans son élaboration.

Une bonne présentation de cette fiche est bonne non seulement vous votre référencement, mais aussi pour vos produits vu que l’internaute se sentira attiré et content d’avoir toutes les informations relatives au produit dont il a besoin.

SEO pour un site e-commerce

Les avantages du SEO pour un site e-commerce

Ce que les professionnels dans le e-commerce savent très bien, c’est que pour avoir un trafic de qualité, il s’avère nécessaire d’avoir sous la main certaines stratégies de webmarketing. Il existe maintenant plusieurs stratégies, mais la plus connue et la plus rentable sur le long terme reste le SEO.

Le principal rôle de cette stratégie marketing, c’est qu’il permet d’avoir une meilleure visibilité au niveau des résultats des moteurs de recherche. C’est pourquoi les détenteurs d’un site e-commerce ont tout intérêt à mettre en place le SEO en tant que stratégie de e-commerce.

En fait, on peut dire que le principe du SEO est simple : grâce à des mots ou des expressions bien définis, le SEO permet de positionner un site web dans les résultats de moteurs de recherche.

En effet, être bien positionné, c’est aussi être plus visible par les internautes, et c’est ce que la plupart des propriétaires de sites e-commerces recherchent.

Mais le fait est que, même si le principe du SEO paraît simple, réussir à bien se positionner demande du temps ainsi que de l’expérience. À long terme, les résultats sont cependant très efficaces.

La raison d’être d’un site de e-commerce, c’est d’avoir des clients qui font des achats. Mais pour avoir des clients, il faut qu’en amont ces clients potentiels, qui sont les internautes, puissent trouver le site en question. Mais le site n’aura quasiment aucun client s’il n’est pas visible par les internautes.

Et il ne sera pas visible s’il n’est pas correctement optimisé pour les moteurs de recherche. Il est donc indispensable de faire en sorte que le site e-commerce en question ait une visibilité optimale de la part des moteurs de recherche tels que Google.

Mais alors, quels sont exactement les avantages que peut retirer un site e-commerce de la mise en place d’une stratégie de référencement naturel ?

Le SEO améliore l’E-réputation du site et établit la notoriété de la marque

Il est important de souligner que les internautes font confiance à Google quant aux résultats de leurs recherches. Généralement, les résultats qui sont placés en tête de la recherche sont souvent considérés comme les plus pertinents.

Alors, plus le site e-commerce sera bien référencé, plus il aura de chance de se retrouver en tête des classements de recherche Google ; et plus les internautes le considéreront comme une boutique fiable. Ainsi, les visiteurs seront confiants et vont visiter et pourquoi ne pas acheter.

En fait, le SEO entre en jeu pour permettre de créer un site web avec une forte e-réputation.

SEO pour un site e-commerce

En effet, le référencement naturel fait appel à certaines approches comme la création de liens et l’engagement social tout en optimisant le contenu du site.

C’est grâce à ces approches que le site web faisant appel au référencement naturel peut être plus crédible, mais également plus performant.

Il n’est plus à dire que faire appel au SEO permet d’améliorer la visibilité d’un site. Mais ce qu’il faut souligner, c’est que plus un site est visible par les moteurs de recherche, plus sa crédibilité est renforcée aux yeux des internautes.

Mais il faut savoir que l’utilisation de mots clés n’est pas suffisante pour permettre à un site d’être remarqué par Google. En effet, il faut aussi un contenu de qualité afin de permettre de générer plus en ligne. Quand on parle de contenu de qualité, il faut que le contenu soit utile aux internautes et qu’il présente ainsi des informations pertinentes.

D’une manière générale, une page de « description produit » doit contenir 150, idéalement 300 mots afin d’être remarquée par Google. Sinon, il y a de forte chance que la page en question n’apparaisse pas dans les résultats de recherche. Cela démontre l’importance d’un contenu de qualité pour bien positionner les sites e-commerces.

En général, les listes, les guides pratiques et les études de cas sont considérés comme étant de très bons contenus. Toutefois, il faut qu’ils soient bien documentés. Ce genre de contenu est intéressant pour bien positionner le site mais c’est aussi un moyen de satisfaire la demande des internautes.

Le SEO permet de classer le site dans les résultats organiques et fournit une visibilité permanente

L’objectif du référencement naturel est simple : il s’agit de faire en sorte de positionner un site dans les premiers résultats de recherches. Mais il faut savoir que ce n’est pas si simple. Cela nécessite un certain travail afin d’obtenir un résultat adéquat.

Le fait d’utiliser le référencement naturel va permettre à un site e-commerce d’avoir une bonne visibilité et donc d’apparaître sur la première page des résultats Google.

Grâce à cela, les clients avérés du site pourront le retrouver facilement tandis qu’il y aura plus de clients potentiels étant donné que les internautes tomberont plus facilement sur le site. Un bon référencement, c’est aussi une assurance de voir son site se classer plus haut de la page de résultat.

On dit qu’une page est optimisée pour un besoin précis si son contenu permet de répondre à ce besoin. C’est-à-dire que la page en question possède un potentiel de volume de recherche suffisant. Cela constitue une assurance de la visibilité de la page.

Cependant, il faut garder une chose à l’esprit : une page optimisée ne le reste pas indéfiniment. Et oui, les sites concurrents cherchent eux aussi à bien se positionner, donc il faut sans cesse faire en sorte d’améliorer son positionnement.

Générer du trafic qualifié sur le long terme de façon gratuite ou à un coût relativement faible

Le référencement SEO permet à un site d’avoir de plus en plus de visiteurs. Pour un site de e-commerce, c’est une véritable aubaine, car c’est un moyen de faire augmenter le chiffre d’affaires de l’entreprise. En général, les internautes sont satisfaits car ils trouvent ce qu’ils recherchent.

Cela les poussent acheter sans avoir à chercher ailleurs. En général, si un site e-commerce continue à optimiser son contenu avec des mots et des expressions clés, il pourra bénéficier d’un meilleur trafic.

En plus, si les clients sont vraiment satisfaits, ils achèteront non seulement ce qu’ils étaient venus chercher sur la page, mais ils resteront aussi plus longtemps sur le site.

SEO pour un site e-commerce

Cela augmentera alors les chances d’un autre achat de leur part. En plus, ils pourront attirer des clients potentiels en leur recommandant le site.

Ce qui est vraiment intéressant avec le SEO est qu’il est quasiment gratuit. Il faut cependant prévoir un certain coût en ce qui concerne la prestation des agences SEO. Le SEO est donc définitivement bien plus intéressant, en comparaison avec le SEA. En effet, ce dernier présente un coût nettement plus important, comme l’achat des mots et expressions clés.

Il faut aussi souligner que pour augmenter significativement le trafic d’un site web, il faut que celui-ci reçoive un grand nombre de clics, donc il faut que le site web en question soit en position principale des pages de résultats de recherche.

Et pour augmenter ce taux de clics, le SEO fait en sorte de créer des balises de titre et des balises de méta-description. En effet, quand ces balises sont optimisées, elles permettent généralement d’augmenter le trafic web qualifié.

Et même si le référencement naturel est quasiment gratuit, il faut remarquer que les taux de conversion de ce référencement sont bien meilleurs que ceux des référencements payants. Dans un certain sens, c’est assez logique.

Effectivement, ceux qui utilisent le référencement payant ne se soucient plus vraiment de la pertinence de leur contenu, puisqu’ils seront toujours positionnés en premier dans les résultats de recherche de Google AdWords. Par contre, lorsqu’on utilise le référencement naturel, les contenus utilisés doivent être parfaitement étudiés.

Obtenir un bon positionnement avec le référencement naturel nécessite de suivre une logique beaucoup plus stricte. Mais grâce à cela, le trafic reçu sera beaucoup plus qualifié. C’est donc normal que les taux de conversion pour le référencement naturel soient nettement meilleurs.

Un autre avantage du SEO pour un site e-commerce est : la rentabilité

SEO pour un site e-commerce

Il existe plusieurs stratégies de webmarketing. Parmi lesquelles on peut compter le cold-calling, qui est une stratégie sortante. Concernant le cold-calling, il s’agit vraiment d’une stratégie qui a fait ses preuves. Mais le fait est que ce genre de stratégie est beaucoup plus onéreux en comparaison avec le référencement naturel.

En effet, les prospects générés par le cold-calling ont un coût 61% plus supérieure aux leads générés par le SEO, qui est une stratégie entrante. On peut alors dire que le SEO permet de faire une économie en comparaison avec les autres stratégies.

En plus, le trafic provenant du référencement naturel est plus qualifié comparé à celui généré par d’autres stratégies de webmarketing. C’est alors un moyen pour les entreprises de faire des économies. Cela est dû au fait que le SEO cible les internautes qui recherchent des produits similaires à ceux qui sont présentés dans votre site.

Le SEO améliore votre taux de conversion et augmente votre ROI et votre chiffre d’affaires

Si on fait appel à une stratégie SEO, cela va inclure aussi une réflexion quant au schéma de conversion des pages du site web. En effet, quand une page est optimisée, les actions qui doivent être effectuées peuvent être facilement identifiées. C’est donc un moyen d’améliorer le taux de conversion.

Alors plus un site convertit, plus il permet de générer un chiffre d’affaires. De ce fait, l’optimisation naturelle d’une page permet de la rendre plus performante et donc d’avoir un meilleur retour sur investissement.